17 décembre 2019
Au CHU de Ouaga, les soignants se désolent de « regarder les pauvres mourir et les riches guérir »
Au CHU de Ouaga, les soignants se désolent de " regarder les pauvres mourir et les riches guérir "
Ici, le ballet des brancards, c'est vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Aux urgences traumatologiques de l'hôpital Yalgado-Ouédraogo, dans la capitale burkinabée, " ça ne s'arrête jamais ", souffle un agent de santé qui se fraie un passage au milieu d'une dizaine de patients allongés à même le carrelage d'un couloir décrépi.
https://www.lemonde.fr
Ici, le ballet des brancards, c'est vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Aux urgences traumatologiques de l'hôpital Yalgado-Ouédraogo, dans la capitale burkinabée, " ça ne s'arrête jamais ", souffle un agent de santé qui se fraie un passage au milieu d'une dizaine de patients allongés à même le carrelage d'un couloir décrépi.
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